12 mars 2016
poème en prose du premier été
Et plus jamais tu ne seras là pour moi de l'autre côté de la colline. Mes rêves joyeux, vigoureux comme de jeunes chats, enjambaient d'un bond l'autre côté de la colline, et tu trônais, cheveux au vent comme des ailes d'ange, de l'autre côté de la colline....