commentaires sur l'on ne sait trop quoi, l'identité et la femme
L'identité, il en va comme d'un vieux vêtement qu'on trouverait dans le placard, et ensuite les autres, mais aussi soi-même, vous intimeraient l'ordre de rentrer dedans, sous prétexte qu'un lointain ancêtre est censé l'avoir porté. Cela vaut-il aussi pour les lunettes de vue? On ne verra pas grand chose pourtant avec les vieilles lunettes du pépé de son pépé!
Et pourquoi se force-t-on ainsi? C'est peut-être la question. L'on ferait mieux de fuir - si l'on peut- avec une jolie fille sur les routes de la liberté.
Seulement voilà, la femme ne veut pas forcément que vous soyez libre, plutôt que vous soyez son esclave. Elle a un rêve pour vous, et vous en avez un autre pour elle. Parfois ça colle, en général non.
Elle a souvent des croyances absurdes, religieuses par exemple. Dieu aussi elle le veut à son image!
Le couteau dans le sac de la maîtresse japonaise, les mots blessants sur votre virilité, tout cela sent bon la castration!
Peut-être que la liberté, c'est vouloir très fort son esclavage, comme n'a pas dit Orwell...