18 juin 2016
Proust et les masques
La mathématique rêveuse de Proust où plusieurs femmes sont la même et une seule plusieurs. Il a aussi sa géométrie, celle des Côtés, qui ne devraient pas se rejoindre et se rejoignent pourtant. C'est le lieu qui engendre la femme comme identité, lui donne un nom et c'est le temps qui multiplie ses masques et les masques de masques.
Bien sûr le masque suprême est celui de l'amour vulgaire posé sur l'autre amour, celui de Sodome, celui de Gomorrhe.
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