Qu'il y ait une conscience ou bien deux, l'une
Qu'il y ait une conscience ou bien deux, l'une pour le dehors et l'autre pour le dedans, cela ne changera rien à la cartésienne différence du sentant-senti et de la machine.
Que l'âme ne s'éveille que pour organiser la synergie des machineries modulaires et s'évanouisse du trop plein de ces messages convergents, cela n'importe guère non plus à cette affaire.
Sinon, il faudrait admettre des esprits parcellaires en chacun de ces modules. Mais ce serait toujours la même différence, à une autre échelle seulement
Il ne sert à rien de faire de la conscience l'expression de cette complexité. Il doit y avoir un lieu propre du conscient, un supplément à la matière inerte, ce que Lucrèce a tenté de penser par ses atomes les plus subtils...
Le Docteur Septimus chez Blake et Mortimer : l'onde méga !